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 |  Sujet: Abbie Marshall, nice to meet you Sam 24 Juil - 11:58 | |
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▌ AVATAR : Avril Lavigne▌ PERSONNAGE TIRE D'UN SCENARIO ? oui [] non [X] ▌ PRÉNOM/PSEUDO : Vérane ~ Cry Baby ▌ AGE : 16 ans ▌ SEXE : Féminin ▌ QUE PENSES-TU DU FORUM ? Mon petit bébé que j'aime.  ▌ AS-TU LU LE RÈGLEMENT ? Faut bien, vu que je l'ai écris... Non chers membres, ne me frappez pas ! ▌ QU'ATTENDS TU POUR ME DONNER LE OU LES CODES ALORS ? J'attends que les poules ont des dents. ▌ PRÉSENCE SUR LE FORUM : 6/7, Dieu c'est bien reposé le 7ème jour... Alors moi aussi ! ▌ QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? Plop ? ▌ VOILA, T'AS FINI... T'ES FIER(e) DE TOI ? BRAVE BETE VA.
Dernière édition par Abbie Marshall le Dim 26 Sep - 18:04, édité 7 fois |
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| | Sujet: Re: Abbie Marshall, nice to meet you Mar 27 Juil - 15:17 | |
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about you
long story short
 Mon nom est Abbie Marshall. Je suis agent spécial au FBI, je fais partie de la section Vols et Crimes avec Violence, affairée depuis 2005 par le démantèlement d'un réseau criminel, au côté de mon meilleur ami, Brian Bradley.
Nous sommes aujourd'hui le 24 Décembre 2008, seule dans mon bureau, je ne pensais pas que cette journée allait tourner au cauchemar. J'étais installée confortablement sur ma chaise, une clope à la main, mes jambes sur mon bureau. Une belle journée que je n'avais pas eue depuis longtemps, du moins, avant que le téléphone ne se mette à sonner. Je l'attrapais par ma main gauche et le mit près de mon oreille. « Abbie Marshall, à l'appareil. » dis-je doucement, c'était mon patron à l'autre bout du téléphone. « Abbie ! C'est bel et bien Bradley qui est lié à l'association de malfaiteurs que nous sommes en train de traquer !... » Me dit-il en me le hurlant une ou plusieurs fois. « Tu sais ce qu’il te reste à faire. »
Mon cœur se mit à cogner fort dans ma poitrine, je tentais de me calmer pour pouvoir analyser la situation et nier cette affirmation. C’est impossible, pas Brian ! Je reposais le téléphone en vitesse, laissant la cigarette dans ma bouche, je sortis du bâtiment et entra dans ma voiture. Voilà que je me mettais à la poursuite de mon meilleur ami. Mais où va le monde ? Brian et moi sommes amis depuis des lustres ! Vraiment je ne m’y faisais pas et me ressassais toutes les soirées que nous avions passés ensembles, toutes ces enquêtes que nous avions résolues tous les deux… Impossible. Ou bien ? Avais-je été aveuglée par mon amitié ?
Bradley devait se trouver sur les bords de la Hudson River, c’était une certitude. Ma voiture accéléra.
Après plusieurs minutes à regarder l’horizon, je décidais d'ouvrir la porte de ma voiture. Laissant échapper de longs soupirs, je pris mon revolver et sortis.
Il était bien là. Je chargeais à contrecœur mon Beretta et l’interpella. Lorsqu'il se retourna, je le regardais avec les yeux pleins de larmes. Comment avait-il pu faire cela ? Mon coéquipier depuis près de deux ans… Pourquoi ne pas m’en avoir parlé ? Je levais le canon de mon arme vers lui et appuya sur la gâchette. Une larme roula le long de ma joue. La balle le frappa en pleine poitrine, et il tomba à la renverse dans la mer agitée. Je venais de tuer mon meilleur ami. Son corps sans vie ne flottait pas et cela m’étonnait. J'essayais de me réconforter. J'ai fait cela parce qu'il le fallait, songeai-je. Mais ce que je pensais ne me réconfortait pas. J'étais abattue. Et comme je n'avais plus rien à faire ici, je m’en allais.
Plus les jours passaient, plus je pensais à Brian. J’étais sûre qu’il était encore vivant, son corps n’avait pas encore été retrouvé et c’était là la seule chose qui me faisait encore espérer. Je plongeais rapidement dans l’alcool et ne m’en sortais plus, mon patron finit par virer la vieille loque que j’étais devenue.
Trois ans plus tard.
Je suis toujours connue en tant que super agent, maintenant une autre étiquette m'a maintenant était attribuée celle de la "délinquante du FBI". Nous sommes aujourd'hui au mois de Décembre, cela fait trois ans que Bradley est supposé être mort et pourtant, mon hypothèse est restée encrer en moi. J'avais beaucoup changé depuis la mort de Bradley. Je m'étais arrêtée dans une station d'essence. Mon portable sonna, c'était Erwan, le secrétaire de Brad. L'air embarrassé, je répondis. « Quoi ? » « Abbie, où es-tu ? Brad te cherche partout. On se fait beaucoup de soucis pour toi. » Souffla t-il. « Ah oui ? Et bien vous n'avez pas besoin de vous faire tant de souci. Je vais très bien. » « Bref, Brad voudrait que tu te rendes à la petite réception que tes anciens camarades de classe ont organisés, à Jacksonville, tout ce dont tu as besoin se trouve déjà dans des valises, à l'hôtel de ville. Je te rappelle plus tard. » *Click*
J'te jure, songeai-je. Je n'avais pas d'autre choix que de me rendre dans cette ville. J'entrais dans ma voiture et regarda la carte de Los Angeles. La valise que j'avais préparée était à coté de moi. Je commençais à rouler pendant plusieurs heures. Plus tard, j'aperçus un bâtiment qui ressemblait fort à une mairie, après plusieurs mètres je m’arrêtais.
Abbie Marshall arriva avec un quart d’heure d’avance à son lieu de rendez-vous. Elle avisa la décoration asiatique et décréta que cet endroit n’était pas fait pour elle. Heureusement le barman assurait le minimum syndical : Scotch et glaçons. Elle décida d’aller s’asseoir au bar en attendant ses anciens camarades de classe. Une fois installée elle interpella le serveur et passa sa commande. Le pauvre homme n’avait pas fini de préparer le verre suivant qu’Abbie avait déjà vidé le siens, elle secoua son verre en faisant tinter les glaçons pour attirer son attention, mais cette manœuvre attira plutôt un homme de type Californien, la peau bronzée, les cheveux grisonnants, les yeux d’un bleu profond et à la mâchoire bien sculptée. Brad Adams. Son patron. « Abbie, te voilà ! » « Bon Dieu Brad, que faites-vous ici ?! C’est une réunion d’anciens élèves d’Harvard, vous n’avez… » « Rien à faire ici, je sais. La coupa t’il. Mais j’avais envie de te soutenir pendant cette dure épreuve. » « Ha…Ha… Bientôt il va vous pousser des ailes, petit Chérubin. » Répliqua-t-elle sarcastique. « Je vous vois venir, vous avez peur que je fasse une connerie, n’est ce pas ? Vous avez peur que je dévoile certains petits secrets ! » Abbie lui lança le regard le plus glacial qu’elle avait en stock. « Ne me regarde pas comme ça, et puis, tu as beau penser ce que tu veux, nous ne te prenons pas pour une folle. » « Mais c’est vrai, vous me voyez ainsi ! Je ne peux rien dire ou faire sans que quelqu’un me prenne dans ses bras en me disant "ça va aller, tu verras." Et quelques minutes plus tard lorsque vous me pensez partie "la pauvre fille, normal après ce qu’elle a vécu… " ! Vous n’êtes qu’une bande d’hypocrites. »
Heureusement pour la jeune femme, Cindy arriva tout sourire, en sautillant presque, vers eux. Elle venait de lui donner quelques minutes de répits sans s’en rendre compte. « Bibiii ! Je suis si heureuse que tu sois finalement venue ! » « Salut, Cindy. Evites de me redonner ce surnom s’il te plait. Allez, je suis quand même contente de te voir. » Lança-t-elle le sourire aux lèvres. « Pourquoi changer les vieilles habitudes ? Tu as toujours détesté ça, et moi j’ai toujours adoré t’embêter ! » « Sale bête va, tu n’as pas changé. » Oh ça non, elle n’avait pas changé d’un poil. Elle avait toujours sa longue chevelure blonde platine, ses yeux bleus en amande, son nez aquilin, ses formes et ses gouts de poupée Barbie. Elle se tourna vers mon patron, je venais de me rendre compte que je ne les avais pas encore présentés. « Pardon. Cindy, je te présente Brad Adams, mon patron. Brad, Cindy, notre ancienne pom pom Girl. » « Ravi de vous rencontrer, mademoiselle. » « Madame, mon mari est déjà à table. Moi de même, mon cher. » Ils se serrèrent la main, puis Cindy me fit lever et me passa en revu de la tête aux pieds. Un sourire illumina son visage, elle avait l’air satisfaite. « Robe de soirée courte bleu-roi, décolleté évasé, jupe coupe ballon, fermeture éclair dans le dos... Escarpins et fin collier noir… Cheveux longs et blonds, descendant jusqu’au milieu du dos, avec de belles ondulations. Un maquillage parfait. Tu es tout simplement magnifique ce soir, comme toujours. Tu as toujours eu bon gout question vêtements, et garçons aussi… » Elle fit un clin d’œil à Brad. « Nous ne sommes pas ensemble, Cindy. » « Ca ne saurait tarder ! » Elle s’approcha de moi pour me souffler un mot à l’oreille. « Il a un petit genre de George Clooney. » Elle revint à sa place, je ne pu m’empêcher de rire. « Il te manque une pochette Bibi ! » Dit-elle d’un air choqué. « Pourquoi changer les vieilles habitudes ? Je ne sais jamais quoi en faire de ces sacs là. » « Ce n’est pas une excuse ! Allez, viens à table avant que je devienne méchante. » Cette fois, c’est à moi qu’elle envoya un clin d’œil. « Cindy, tu as bien dis "Madame" il y a quelques minutes ? Qui est l’heureux élu ? » « Mike, évidemment ! » « Evidemment. » Nous échangeâmes un sourire complice. « Tu crois que Stéphanie sera là ? » « Je ne pense pas, elle nous détestait. » « C’est toi qu’elle détestait » appuya Cindy. « Merde, c’est toi qui l’a attaché sur son lit avec du ruban adhésif ! C’était méchant » déclara-t-elle avant d’éclater de rire. « Ce n’était pas méchant, c’était amusant ! »
Et voilà, vous vous dites sûrement : "Ouais c'est long et ça ne nous avance pas beaucoup..." Mais bon, vous savez, quand on fait partit du FBI on a pas le droit de tout dévoiler comme ça... Donc oui vous en saurez plus sur moi, oui vous cannaitrez mon passé... Seulement si vous êtes un ami proche.
Dernière édition par Abbie Marshall le Dim 26 Sep - 15:35, édité 1 fois |
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