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June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe !

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June C. Anderson

June C. Anderson
Admin




♠ messages : 161
♠ date d'inscription : 19/07/2010
♠ âge réel : 29
♠ copyright : Tchease
♠ âge du perso : Vingt-cinq ans.
♠ music box : Depeche Mode ▬ Enjoy the silence ♫


identity card.
▬ secret: J'ai été prostituée quand j'étais à New York.
▬ métier: Ancienne danseuse
▬ double compte: Non

June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! _
MessageSujet: June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! EmptySam 24 Juil - 12:23

« Rare sont les personnes sincères...
Que les vrais amis restent ,
Que les autres partent,
Cela ne sera pas une grande perte... »

June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! 825229Sans_titre_51
Réalisé par HerSunshine.

Anderson
June Coraline

né(e) le 11/05/1988 à Los Angeles, vingt-cinq ans, Américaine.

EN SAVOIR PLUS
Classe sociale : Aisée.
Métier : Ex-danseuse.
Statut civil : Fiancée à Hayden O. Anderson.
Groupe : Orgueil.






BEHIND
the screen
dites en plus à propos de vous


AVATAR : Ashley Benson
PERSONNAGE TIRE D'UN SCENARIO ? Oui [] Non [x]
PRÉNOM/PSEUDO : Camille.
AGE : 16 ans.
FILLE OU GARÇON ? Fille.
QUE PENSES-TU DU FORUM ? Malades
AS-TU LU LE RÈGLEMENT ? Oui ?!
QU'ATTENDS TU POUR ME DONNER LE OU LES CODES ALORS ? Validé par moi.
PRÉSENCE SUR LE FORUM : 5/7
QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? super
VOILA, T'AS FINI... T'ES FIER DE TOI ? BRAVE BETE VA.






Dernière édition par June C. Anderson le Lun 11 Oct - 18:30, édité 13 fois
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June C. Anderson

June C. Anderson
Admin




♠ messages : 161
♠ date d'inscription : 19/07/2010
♠ âge réel : 29
♠ copyright : Tchease
♠ âge du perso : Vingt-cinq ans.
♠ music box : Depeche Mode ▬ Enjoy the silence ♫


identity card.
▬ secret: J'ai été prostituée quand j'étais à New York.
▬ métier: Ancienne danseuse
▬ double compte: Non

June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! _
MessageSujet: Re: June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! EmptyJeu 29 Juil - 15:51


TELL ME MORE
about you
long story short

        — Peu importe si le début paraît petit.. ;; Henry D. Thoreau.

    « Non, non, non ! Ma chérie, tu souries et tu secoues les satanées plumes que tu as sur le crâne ! Tout de suite ! »

Jerry n'était vraiment pas de bonne humeur ce jour, et d'ailleurs moi non plus. Voilà trois longues années, ennuyeuses années, que je travaillais à Paris au Moulin Rouge. J'avais fais une école de danse prestigieuse, accompli mes rêves et à présent je me retrouvais derrière une certaine Mirranda dont le talent ne dépassait pas mes chevilles. De plus, on la traitait comme une princesse alors qu'elle n'était qu'une moins que rien ! Je détestais qu'on puisse mettre une fille des rues sur un tel piédestal alors que le vrai talent, moi, était juste à côté ! Je descendis de l'estrade, vint me placer face à Jerry, le fabuleux créateur du nouveau spectacle du Moulin rouge, je pris les plume rouges placées sur ma tête et les lui balançaient à ses pieds. Je levais machinalement la tête en avançant vers la porte.

    « Si tu passes cette porte tu... tu seras virée ! »
    « Vire moi, je n'attend que ça ! »

Sur ces derniers mot, je rentrais dans la lumière du pas de la porte et sortais dignement en entendant les indignement des jolies demoiselles, foutues demoiselles qui avaient été des hypocrites de partenaires. J'avançais dans le couloir et passa dans ma loge afin de reprendre mes affaires. Je sortais par la porte de services et rentrait dans ma jolie décapotable rouge en claquant la porte et en démarrant à vive allure. Une soudaine envie de retourner au pays me vint à l'esprit et c'est alors que je rentrais chez moi que je fis un détour par l'aéroport de Paris le plus proche de chez moi. J'achetais un billet sur place pour une semaine plus tard ; un allé vers New York, un allé sans retour, à ma plus grande joie. Je retournais chez moi et pendant une semaine, je me repassa ma courte vie en tête.

J'étais assise sur mon canapé, dans un appartement avec une vue sur la tour Eiffel, je sirotais un cocktail que j'avais commandé deux minutes plus tôt. Mes cheveux blonds tombaient en boucle sur mes épaules, j'étais assise sur le canapé rouge que j'avais déplacé face à la vue imprenable de la belle capitale française. Et d'un seul coup, je me revit, petit fille, née à New York, dans le creux des bras de ma mère, je venais de naître et mon père était juste à ses côtés, plongeant ses yeux doux et durs à la fois dans mes yeux bleus. Puis, l'illusion de revenir à cette belle époque s'effaça pour laisser place à un tournant de ma vie, serrant un lapin en peluche contre mon coeur, je regardais mon père et ma mère se hurler dessus, ma mère jeta une assiette juste à ses pieds avant de se retourner et de prendre deux grosses malles placées à ses côtés.

    « Arrête d'insister John ! J'ai trouvé un autre homme et je n'ai plus aucun sentiments pour toi ! »

Elle passa la porte sans jamais revenir ; j'étais trop jeune pour comprendre à l'époque que le coeur de ceux qui s'aimaient pouvait arrêter de battre pour l'être choisis. Puis la nouvelle illusion disparu pour laisser place à une bien plus récente, de quelques années déjà où l'on me voyait me saouler avec une trentaine d'amis que j'avais invité chez moi sans l'autorisation de mon père. Un jeune homme était déjà en train d'enlever les boutons de mon chemisier quand mon père apparut la porte, rouge de colère, il frappa un de mes amis lycéens qui porta plainte plus tard. J'étais devenue une fille souillée d'après lui et il m'envoya en institut où j'étais censé découvrir une passion renfermée, une passion qui m'aiderait à devenir exceptionnelle selon lui, une passion qui m'aiderait à dépasser mes soucis et à m'apprendre à me battre ; cette passion fût la danse. Moins d'un an plus tard, j'arrivais en école de danse où j'appris beaucoup, même plus qu'à bouger comme une professionnelle, j'appris enfin à me surpasser et à surpasser mes sentiments.

    « Bien June, continue ainsi et tu pourras devenir une des meilleure danseuse du monde. Tu es devenue meilleure que celle que tu étais quand tu es venue ici et tu peux être fière de tes accomplis. »

Cela ne dura pas bien longtemps car j'arrêtais l'école pour m'occuper de mon père atteint d'un cancer. Il lui fallut un an avant de mourir et avant que je ne passe des casting afin de trouver un emploie bien loin de mon chez-moi, à Paris où je dû apprendre la langue française. La mort de mon père m'avait affecté et m'avait fait cesser de croire en moi et d'espérer devenir quelqu'un de meilleur que je ne l'eus été. La danse eût alors un goût amer à ma bouche quand je rejoins "Féerie", le nouveau spectacle du moulin rouge et cette passion renfermée s'estompa, laissant place à un égaux et à l'orgueil. Certes, j'avais beaucoup d'argent, un métier à en faire rêver plus d'une, mais il me manquait des amis, l'amour, une famille ; il me manquait une véritable vie sociale et plus le temps passait, plus je me renfermais, et mes défauts prenaient le dessus. C'est alors que trois ans après mon embauche, je quittais Jerry, Mirranda, le Moulin Rouge, Féerie et tous les autres.



      — Quand nous ne sommes plus enfants, nous sommes déjà morts.. ;; Constantin Brancusi.

Je m'installais sur mon siège au numéro dix-neuf, prenait place, sortant déjà un magazine de mode français de mon sac à main, que de ragots, rien sur moi et...

    « Tant mieux ! »

Pensais-je haut et fort. C'est alors qu'un bel homme vint s'assoier sur le siège côté allé juste à côté de moi ; il était assez grand, avec une musculature à tuer un dinosaure, les cheveux châtains, plus qje l'examinait en faisant seblant de continuer à lire l'article sur Kate Moss, plus je le trouvais beau et ténébreux. Les heures passaient et bientôt je m'endormais, après avoir rangé mon magazine dans mon sac à main en le pliant en deux. C'est alors qu'une violente secousse me réveillait et puis le son de la voix d'une femme ; l'avion allait atterir dans peu de temps, je me remettais assise correctement, lissant le bas de ma robe avec mes mains quand je m'aperçu que l'homme à mes côté n'était plus là. Je levais le buste pour m'aggrandire quand je le vis arriver, il avait certainement fait un tour au toilette, il s'assit à mes côté en me souriant de son plus beau sourire tout en s'attachant. Peu de temps après, l'avion atterissait et on dut quitter notre transport pour rejoindre nos valises. La mienne, une énorme malle passa juste à côté de la plus petite valise du bel homme. Nous rejoingnons donc la sortie de l'aéroport l'un à côté de l'autre, je levais la main pour signaler aux taxis que je voulais un transport mais aucun ne s'arrêtais, il apparut alors à mes côté et siffla un grand coup en joignant deux doigts à ses lèvres, une des nombreuses voitures jaunes s'arrêta juste devant nous deux.

    « Allez-y, je vous en pris. »

Il pris ma valise et la mis dans le coffre puis m'ouvrit la porte de mon taxi pour que j'entre dedans, il referma ensuite la porte.

    « Où allez-vous ? »
    « A l'hôtel le plus proche. »

Aussitôt dit, aussitôt fait, la voiture demarra. Je regardais par la fenêtre l'homme qui s'éloignait petit à petit de moi, un homme si beau et frustrant à la fois ; cela faisait deux minutes que je l'avais quitter et son regard, la couleur de ses yeux, sa haute taille et sa présence me manquaient déjà ; une sacrée rencontre que je venais de faire ! Je fus prise par une bouffée de chaleur quand je me rendis compte que je ne cessais de me tourner dans tout l'arrière de la voiture jaune et que le chauffeur me regardait bizarrement, je me stoppais et attendit alors tranquillement les plusieurs minutes qui me séparait de l'hôtel le plus proche ; le Blue Sire.



      — On rencontre sa destinée souvent par les chemins qu'on prend pour l'éviter.. ;; Jean de la fontaine.

Je plaçais mon sac en cuir noir sur mon épaule tout en marchant dans cette rue sombre en pleine nuit, un frisson m'atteint quand un chien se mit à abboyer à côté de moi, juste une fin grillage nous séparant et l'empêchant de me sauter à la gorge, je voyais même déjà l'article qui apparaîtrais dans le journal avec une photo du chien en petit titre, artcile que peu de gens liraient par manque de temps, effectivement, j'étais revenu à New York, grand et belle ville, sale et puante. Je revenais d'un travail peu payé qui occupait mes journées car l'argent commençait doucement mais surement à manquer et il fallait que je continue à payer l'hôtel qui n'était pas le moins cher de la ville. Deux mois auparavant, j'avais passé un entretien dans cet établissement et vu mes quealifications, il m'avaient tout de suite pris ; j'étais alors passées d'une danseuse professionelle à Paris, à une danseuse-serveuse dans un bar de New York.

Une voiture klaxonna sur la route plus loin et je sursautais, je detestais cet endroit, qu'est-ce qui m'avait pris en quittant mon boulot de rêve dans une ville de rêve pour revenir ici ?Le chemin que j'empreintais changeait alors de direction et quand je l'empreinta, je vis deux hommes, battant un mort un troisième, le ruant de coups meurtiers, un haut le coeur monta à ma gorge lorsque du sang gicla, je sortis machinalement le déodorant de mon sac ; un reflex revenu de mes vieilles habitudes. Je m'approchais des hommes, mais qu'est-ce que tu fais June, tu veux mourir ? Me disait une voix intérieure.

    « Laissez le tranquille ! »

Ma voix tremblait et un homme se retourna vers moi en ricanant.

    « Allez viens James, je crois qu'il a compris la leçon, sinon la ptite dame va s'énerver. »

Et ils repartirent de l'autre côté en jetant un dernier coup d'oeil à l'homme effondré ma terre qui gemissait. Je courrais jusqu'à lui et le retournais sur le dos ; il respirait de manière saccadée et plissait les yeux sous la douleur. Je sortais mon téléphone portable pour appeler les pompier quand je m'aperçu que cet homme était celui de l'avion.

    « Allô, bonjour, je m'appelle June McReady et je viens de trouver un homme blessé dans la Rue de Laquenexy, dépêchez vous, je vous en pris, je crois qu'il perd du sang ! »

Un hoquet m'avait surpris quand j'avais réalisé que du sang sortait de son abdomen et s'écoulait à mes pieds. Quelques minutes plus tard, l'ambulance était déjà sur place ainsi que la police, on m'enmena dans l'ambulance pour me questionner sur ce que j'avais vu et pour que je fasse une déposition. Ils me posèrent des quastions sur ce qui s'était passé puis me demandèrent de décrire les deux hommes qui avaient presque tuer le troisième pour en faire un portrait robot.

    « Une voiture va vous ramener chez vous, si vous avez d'autres questions, nous vous rapellerons. »

C'est ainsi que je repartie penarde, mais aussi inquiète à mon hôtel, raccompagnée par une policier silencieux qui ne dit pas un mot du trajet et je l'en remerciais car je n'avais pas vraiment envie de parler. Je voulais rentrer chez moi, me doucher, mnger et me coucher, rien de plus.

Deux jours plus tard, alors que je prenais mon café matinale, quelqu'un toqua à ma porte, je pris un élastique trainant sur la table et attachais mes cheveux blods en une queue de cheval. J'ouvais alors la porte qui laissa place à l'homme que j'avais rencontrée dans l'avion, puis revue alors que deux hommes allaient le lisser pour mort. Il tenait à la main, un éclair au chocolat et une tasse de café.

    « Je ne connaissais pas vos goûts mais j'avais envie de vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi. »


Je lui souriais et le laissais entrer dans mon cocon.

      — La vie et l'amour sont la même chose. Quand il n'y a pas d'amour, il n'y a pas de vie.. ;; Roch Carrier.


J'ouvrais petit à petit les yeux dans mon lit aux draps blancs entourés de cartons ; un homme se tenait à mes côté, je tournais sur moi-même pour l'embrasser longuement. Il ouvrit les yeux au même moment et bascula sur moi et sépara nos mèvres un instant

    « June Coraline McReady, je vous aime. »

Aussitôt, il reprit son baisé, plus amoureux que jamais. Voilà deux mois déjà qu'il avait mis pour la première le pied dans ma chambre d'hôtel, les deux mois les plus merveilleux de toute ma vie entière ; je n'avais jamais autant aimé et j'avais l'impression que tout était parfait à ce moment même, utopie ou réalité ? A ce moment même, un chaton aux rayures grises sauta à nos côté, stoppant notre baisé fougueux pour des câlins ; un achat à deux peu de temps auparavant en signe d'amour profond et sincère. Je souriais tellement j'étais heureuse mais la venue du chaton signifiait autre chose que l'envie de câlin, il était décidément l'heure de se lever pour terminer le déménagement vers une banlieue de Jacksonville afin de pouvoir continuer notre vie ensemble loin de New York et des perturbations qui avait eu lieu dans nos vies ici-même. A dix heures précises, le camion de déménagement se garrait devant l'appartement où j'avais habitée avec Hayden, appartement qu'il avait loué avant d'arriver à New York. J'enfermais le chaton dans un panier couvert pour qu'il ne traine pas dans nos jambes pendant que nous enlevions les cartons et les descendions jusqu'au camion où ils étaient mis à l'intérieur. Le chaton nous accompagna lui, à la fin, dans la voiture d'Hayden et nous commencions alors notre périple vers Jacksonville, quelques heures plus tard, vers midi après avoir pris de quoi manger sur la route. Le chemin pris bien deux jours et nous nous arrétions toutes les deux heures ainsi que la nuit dans un hôtel à mi-chemin.

C'est deux jours après, que nous arrivions dans la banlieue, à Colony Cove, vers dix-sept heures, le chat avait arrêté de miauler et se reposait, le camion de déménagement ne tarderait pas non plus à arriver. Notre maison était la numéro 462, et c'est tout en roulant que nous cherchions le fameux numéro quand enfin, la maison, spatieuse nous apparu enfin, elle était peinte de couleur jaunâtre et le toit était noir, elle avait l'air grand et l'intérieur devant être superbe. Je n'avais qu'une hâte désormais, que tous les cartons soient déballés et qu'on puisse enfin vivre tranquillement tous les deux et continuer notre vie. J'ouvrais la cage du chaton et prenait la laisse entre mes doigts en le portant vers l'extérieur.

    « Allez viens minou, on va te dégourdir les pattes. »

La rue était tranquille et toutes les voiture étaient soit garées, soient parties, je pus donc sortir le chat sans risquer de nous faire écraser ce qui n'était pas chose facile dans New York.


      — Si le plaisir existe, et si on peut en jouir qu'en vie, la vie est donc un bonheur.. ;; Giacomo Casanova.


Les cartons étaient enfin entièrement déballés dans toute la maison et le chat avait déjà profiter du confortable canapé dans le salon ; Hayden avait décidé de m'inviter au restaurant pour fêter notre nouvelle vie et c'est dans une robe moulante noire et blanche, coupée droit aux genous que je l'accompagnais habillé de façon classe et naturelle. Quand nous arrivions, je remarquais un restaurant haute gamme avec des serveurs qui affluaient de partout, on nous assis à une table et les repas étaient presque hors de prix ; je ne pus finir toute mes assiettes et c'est juste avant le dessert qu'il se passa quelque chose d'étrange, Hayden me regardait droit dans les yeux quand un serveur s'approcha avec un plateau qu'il déposa devant moi, sur ce plateau était posé un petit coffret entouré de velour fermé. Je pris le coffret et l'ouvris, une larme coula de mes yeux quand je découvris la bague avec un petit diamant.

    « June Coraline McReady, veux-tu m'épouser. »
    « Oui ! »

Je glissais la bague à mon doigt quand il se leva pour me serrer dans ses bras et m'embrasser. Jamais, non, jamais, je n'avais était aussi heureuse que depuis ses deux derniers mois, jamais je n'avais autant aimé, jamais je n'avais été aussi convaincu qu'une nouvelle et belle vie s'offrait à moi.




Dernière édition par June C. Anderson le Sam 18 Sep - 12:36, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! EmptySam 18 Sep - 9:31

histoire finie. love
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MessageSujet: Re: June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe ! Empty

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June Coraline Anderson ▬ Si tu m'touche, j'te bouffe !

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