Jerusalem ; Mille neuf cent quatre vingt dix



« Maman ! Papa où il vas ? Il nous quitte ? Pourquoi il est habillé comme ça ? Pourquoi ….? ». J'avais tellement de question. J'avais cinq ans et je ne comprenais pas pourquoi mon père partait habillé en militaire dans un endroit dont j'ignorais totalement le nom. Je voyais parfaitement ma mère avec ses gouttes salées lui couler le long de la joue. Et moi j'étais debout a côté de mon frère jumeaux Azraël. Suite à mes questions, ma mère s'était agenouillés en face de moi et elle m'avait répondue « Ma belle ! Papa ne nous quitte pas ! C'est son devoirs de partir là-bas ! Il est habillé comme ça parce que c'est son habit c'est ainsi princesse. Papa ne vous a pas dit en revoir car sinon il n'aurait pas pu partir et il le devait. Il vous aime mes enfants vous savez. Pendant quelque temps nous serons plus que nous trois d'accord ! ». Mon frère et moi avions hochés la tête. Cela nous voulait pas dire pour autant que nous comprenions ce qu'elle venait de nous dire. Le soir même alors que nous mangions dans la salle à manger avec la télévision et les informations. Une femme disais « Un nouvelle attentat a eu lieu il y a très peu de temps. Heureusement que les renforts demandés son arrivés … Ici c'est le chaos. On ne compte plus les ….». Ma mère avait éteint la télévision. Elle refusait qu'on entende ça. J'avais peut être cinq ans mais je venais de comprendre, j'avais regardée ma mère et je lui avais dit « Maman, Papa est partie là-bas hein ? ». Et ma mère avait hochée la tête alors que de nouveau des larmes coulaient le long de ses joues. J'avais compris et je savais très bien que je ne reverrai jamais, jamais mon père. Ma mère s'était approchée de nous. Elle avait passée ses doigts dans mes cheveux brun et avaient plongés ses yeux marrons dans les miens qui était de la même couleur et elle nous avait dit « Tu es intelligent princesse ! Papa ne reviendras peut être pas mes enfants ! Il est partit à la guerre ! Il défend notre pays ! C'est son devoir c'est ainsi. Mais papa restera à jamais dans nos cœurs à tous, d'accord ? ». Peut être que j'allais avoir mon père toujours dans mon cœur, mais il ne serait plus jamais avec moi. Les samedis après-midi quand nous allions tout les deux au parc, quand il me prenait dans ses bras et me fessait tournoyer en l'air avec lui et que son rire se joignait au mieux. Quand ses lèvres se posait sur mes joues roses de petite fille. Tout ça , toute ses choses, il ne sera plus là. Sa façon de me crier quand je fessais une bêtise, sa façon de me dire je t'aime. Je n'aurais plus jamais ça. Personne. J'avais fondue en larmes. Puis les années avaient passées. La petite fille devint une jeune fille, presque une femme. Toute mon enfance j'avais vécu avec le manque de paternel. Toute mon enfance avait été faite avec un trou béant dans mon cœur, un manque total d'amour paternel. Mais j'avais continuée à vivre, pour lui. Un an après qu'il soit parti, il s'était fait tuer et c'est à ce moment là, que j'avais mûri et que j'avais réellement pris conscience que mon père je ne le reverrais vraiment, réellement jamais.

Jerusalem ; Deux milles trois


« J'ai l'honore de vous présenter le tant attendu Benjamin, le nouveau dont tout le monde parle depuis plus d'une semaine ! Benjamin …». Je ne sus ceux que Mme Ilioa dit par la suite, car Benjamin car tel était son nom, avait absorbée tout mon esprit. Il était si beau. On aurait dit un ange. Son regard se posa sur moi, alors que je le fixée intensément. Un sourire étira ses lèvres et je compris qu'il avait remarquée comment je le regardée. Je repris mes esprits et j'entendis la fin de la phrase de la prof dire qu'il pouvait s'assoir là où il voulait. Je remarquais que plusieurs filles lui proposée de s'assoir à côté d'elle, presque si elle ne giclait pas leur voisin ou voisine de table. Mais non il vint s'assoir près de moi. Mon cœur, j'ai bien cru qu'il allait lâcher. Il s'était assis près de moi et avait posé son regard sur moi et d'une voix douce et rassurante il m'avait demandé « Tu t'appelles ? ». Respirer, répondre calmement. Le rouge me monta directement aux joues et je répondis d'une voix tremblotante « Nemésis ! ». Depuis ce jour-là nous étions devenu inséparable. Au grand malheur de mon frère jumeau avec lequel j'avais un lien si profond et inséparable. Mais les choses changent et les gens évoluent. J'aimais mon frère plus que tout, il était ma vie, mon sang. Sans lui je serais perdue depuis très très longtemps mais à présent j'avais mon échappatoire, Benjamin celui qui fait battre mon cœur, le garçon que je m'étais mis à aimer encore plus fort de jour en jour. A cet époque là j'avais un look assez rock'and'roll , très rebelle de la vie. Car c'est ce que j'étais une pure et simple rebelle. Mais Benjamin m'a appris à être une autre personne. Il a ouvert le côté bon de moi. Il m'a montré, m'a ouvert les yeux sur qui j'étais réellement. Il a tant fait pour moi et il fait toujours tant pour moi. Un soir lors d'une soirée passés tout les deux, nous avons échangés notre premier baiser et avons passé notre premier nuit ensemble. Et puis les années ont passé et on aucun de nous deux ne quitté l'autre. Nous nous étions trouvés. Nous nous aimions et nous étions heureux. Nous avons finis par aménager ensemble. Je commençais mes études de journaliste / photographe. Benjamin m'encourageais dans cette voix. Les années passèrent et rien ne changea réellement. Jusqu'à il y a trois ans quand mon frère jumeau vint me voir. Dès que j'ouvris la porte je sus que quelque chose n'allait pas, qu'il allait me dire quelque chose que je ne supporterais pas. Il me fit m'assoir, Benjamin n'était pas encore rentré. Il me dit « Je sais que tu vas me détester ! Que tu vas me haïr plus que tout ! Mais c'est mon choix Nemé' ! Je veux le faire ! Personne ne mis à forcé, je veux juste suivre les traces de papa tu comprends dis moi que tu comprends et que tu me soutient ! ». Je ne le comprenais pas et je ne soutenais pas dans son choix. Je fessais que dire non non non. Je ne le croyais pas. Je finis par exploser, je me suis levée comme une furie, il s'est levé. Je me suis approchée de lui et j'ai dis « Dis moi que c'est pas vrai ! Dis moi que tu pars pas ! Je ne veux PAS te perdre !! Si je te perds je perd une partie de moi ! Non je t'en supplie ne fait pas ça ! ». Je lui avais mis une claque. Il m'avait attrapé les deux poignets et m'avait regardée en face, alors que mes larmes coulaient le long de mes joues. Que ses perles salées tombées une a une de mes yeux marrons. Et il m'avait serré fort dans ses bras. Il avait déposé un baiser sur ma joue et m'avait dit en revoir. Puis il était parti, j'avais hurlée son prénom, hurlé si fort. Benjamin m'avait retrouvée agenouillés prés du canapé dans un état désastreux. Le temps à passé et je continuais de vivre même si on fond de moi il manquait une part de moi-même. Il m'écrivait des lettres et je lui répondais. Voilà comment je parlais avec mon frères jumeaux, avec la moitié de moi-même.

Jacksonville ; De nos jours

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Il y a un an de cela nous sommes tombés sur cette annonce Benjamin et moi. Et on s'est dit que ce serait une bonne chose de déménager. De partir loin d'ici. Alors ces ce qu'on fit. Nous avons déménagés ici. Nous avons achetés un de ses appartements et nous pensons y vivre une vie heureuse. Je quittais donc ma pauvre mère qui était si triste de voir sa fille partir loin d'ici de la laisser seule. Pendant un temps je m'en voulue de l'avoir laissée mais j'avais besoin de ça. A présent j'ai un boulot de journaliste / photographe. Cela me plaît et c'est un travail fait pour moi. Je suis une fille qui ressemble assez à un livre ouvert. On sait tout de moi rien que dans le regard. Je peux être une fille douce , serviable, marrante , souriante, car il faut sourire à la vie, un sourire peut sauver une vie, faire relever une personne qui a besoin d'aide. Un sourire c'est beau, ça fait plaisir et ça coûte rien. Je suis aussi très sérieuse, dans le travail, toute façon il faut l'être pour réussir et comme je suis persévérante alors autant mis mettre à fond. Mais tout le monde à des défauts et oui j'en ai. Je suis une grande gueule, je ne passe pas par quatre chemins pour dire les choses, je dis ce que je pense sans quiproquo, je dois te dire ça et bien je te le dis. Parfois ça passe ou ça casse. Je peux me montrer mauvaise quand on touche, ou on fait du mal au personne que j'aime. Curieuse et gourmande, parfois naïve. J'envie les gens qui on de l'argent et qui le jette par les fenêtres. J'envie les gens souvent pour ce qu'ils ont. Je suis heureuse certes mais je ne peux parfois pas m'empêcher de les envier. Je suis du style à m'habiller normalement mais d'une manière féminine parfois non tout dépend de mon humeur je n'ai pas de style précis. Il y a six mois de ça j'ai appris que j'étais enceinte, Benjamin à pris cette nouvelle très bien et il est le plus heureux du monde. Mais rien n'est parfais dans la vie. Comme dans tout les couples il y a des hauts et des bas. C'est la vie après tout. Tout les habitants de l'immeuble angoisse à cause du Rapace. On se demande bien qui sera la prochaine victime et surtout ce qu'il nous réserve.

▌ AVATAR : Natalie Portman
▌ PERSONNAGE TIRE D'UN SCENARIO ? oui [] non [X]

▌ PRÉNOM/PSEUDO : Lilly ou LinkinGreen30
▌ AGE : 17 étoiles mais bientôt 18 !
▌ SEXE : Féminin
▌ QUE PENSES-TU DU FORUM ? J'AIME ♥♥ !! LE CSS est à tomber ♥ et le Design époustouflant !
▌ AS-TU LU LE RÈGLEMENT ? Yep !
▌ QU'ATTENDS TU POUR ME DONNER LE OU LES CODES ALORS ? Validé par Abbie M.
▌ PRÉSENCE SUR LE FORUM : Pendant la période scolaire le week-end presque tout le temps, sinon 1 ou 2h par soir et tout le mercredi & en vacance scolaire tout le temps !
▌ QUELQUE CHOSE A AJOUTER ? Mercii pour ce merveilleux forum !
▌ VOILA, T'AS FINI... T'ES FIER(e) DE TOI ? BRAVE BETE VA.