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Diner en amoureux - PV Monica S. Ward

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Enzo D. Philipelli

Enzo D. Philipelli
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Diner en amoureux - PV Monica S. Ward _
MessageSujet: Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Diner en amoureux - PV Monica S. Ward EmptyLun 27 Sep - 19:06

Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 1zoudn9
it's date night.

Plus que quatre heures ! Plus que quatre heures ! C'était tout ce à quoi je pouvais penser. J'étais coincé dans l'avion avec mon cher paternel, les yeux rivés sur ma montre, fixant chaque mouvement de cette petite aiguille qui n'en finissait pas de tourner, puisque dans quatre heures, je la verrai à nouveau. Et je n'en pouvais plus d'attendre.

"- Monsieur, désirez-vous quelque chose à boire ? "

Je jetai un regard furtif à mon interlocutrice, lui adressant mon plus beau sourire.

"- Non merci, ça ira."

Elle me rendit mon sourire et regarda par dessus mon épaule. Mon père avait pris quelques cachets avant de monter dans l'avion afin de pouvoir dormir tout le long du vol et, ainsi, d'échapper à sa crise de panique traditionnelle au décollage. Il détestait l'avion, ce qui n'est pas un avantage lorsqu'on est sénateur, qu'on vit à Jacksonville et qu'on doit se rendre à Washington au moins une fois par semaine.

"- Et pour votre père ?, me demanda l'hôtesse de l'air.
- Je pense qu'il n'a besoin de rien. Merci."


Elle hocha la tête et partit vers d'autres horizon, armée de son chariot métallique qui devait contenir, j'en suis sûr, toutes sortes de gourmandises. Quant à moi, je me remis à fixer ma montre, tel un psychopathe invétéré. Mais j'avais des excuses. J'avais été séparé de ma belle pendant trois jours, et elle me manquait déjà beaucoup. Je ne sais pas comment elle avait réussi à faire ça, mais Monica m'avait rendu accroc ! Elle était sans cesse dans ma tête. Chaque mot prononcé, chaque chose que je voyais me faisait penser à elle. Comme si elle faisait partie de moi. Et pourtant elle et son sublime sourire, elle et son regard ténébreux, elle et ses cheveux doux et soyeux n'étaient pas là. Et ça me faisait mal. Je ne saurais l'expliquer avec les mots justes, mais je crois qu'on pourrait dire, en somme, que j'étais tombé amoureux d'elle et que cette fille, je l'avais dans la peau !

Enfin bref, toujours est-il que, par l'action d'un complot que je ne puis expliquer, je m'étais retrouvé, il y a quelques mois de cela, à faire la promesse à mon père que j'irais avec lui à ce meeting à Washington, meeting très important pour son parti. Pour ma défense, cette promesse avait été faite un dimanche, à 7 heures du matin, alors que je n'avais pas encore ingurgité la moindre dose de caféine, pensant que le vieil homme aurait vite fait d'oublier. Mais c'était sans compter sur la tenacité de mon père qui, malgré son âge avancé, m'étonne de jour en jour par la vivacité de ses fonctions cérébrales. J'ai donc passé trois jours à Washington, sans Monica, et ces trois jours m'ont paru des années et des années. Et même si nous communiquions par le biais de mon cher téléphone, sa présence me manquait fatalement.

Pour fêter nos retrouvailles, je lui avais proposé de nous rendre au Yellow Bluff, un restaurant français de Jacksonville. Bien entendu, elle avait accepté. Et moi, je ne pensais qu'au moment où elle arriverait dans le restaurant. je ne pensais qu'à son regard qui croiserait le mien, qu'à son sourire qui provoquerait le mien, qu'à ses lèvres que je m'empresserai d'embrasser. C'est sur cette image que je me suis endormi. Et lorsque je me suis réveillé, nous étions arrivé.

Sur le chemin de la maison, je repensai au jour de notre rencontre. Ce jour où elle m'avait courageusement sauvé. Et puis, tout s'était enchaîné naturellement. je l'avais invitée à boire un verre, elle m'avait plu, je l'avais invitée au restaurant, et depuis ce temps, il m'était impossible de me passer d'elle. lorsque je suis arrivé chez moi, je n'ai même pas défait mes valises, de peur d'être en retard à notre rendez-vous. J'ai ouvert le placard de ma chambre, y ai choisi un pantalon noir et une chemise blanche que j'allais accessoiriser d'une cravate noire, simple, puis je grimpais dans ma voiture, ne pouvant attendre plus longtemps.

Arrivé au restaurant, Monica n'était pas là. Nous avions rendez-vous à 20h30, il était 20h20, j'avais encore de la marge. Je priai donc le serveur de nous installer à sa meilleure table. Et c'est tout naturellement que je mis à fixer la porte d'entrée. Attendre, attendre... c'est peut-être la meilleure partie. On ne sait pas encore ce qu'il va se passer, on espère et puis arrive ce que nous attendions, jamais comme nous l'avions imaginé. Moi, j'attendais Monica, mais plus pour très longtemps, puisqu'à la seconde où mon regard avait dévié vers l'aspect bizarre du sol de ce restaurant, la porte s'ouvrait, laissant apparaître la femme que j'aimais. Elle était encore plus belle que dans mes souvenirs et semblait me chercher du regard. Alors je me levai, souriant, sans voix. Elle était enfin là.


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S. Monica Ward

S. Monica Ward




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Diner en amoureux - PV Monica S. Ward _
MessageSujet: Re: Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Diner en amoureux - PV Monica S. Ward EmptyMar 28 Sep - 15:43

Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 52565806 Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 43554797 Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Twirling-tvd45

‘‘ C'est en creusant au plus profond d'une âme,
que l'on en découvre les plus beaux secrets. ’’

Une minute de plus, tic tac… Tic tac… La tête ailleurs, dans mes songes j’essayais de canaliser cette crampe qui se manifestait un peu plus dans le creux de mon estomac. Je me voulais décontractée et zen, je me voulais simple et détendue, hors j’étais tendue comme un ressors et une drôle d’impression envahissait mon corps, encore… Non… Je devais me calmer, reprendre le fils de mes idées et avancer sur ces formules en chimie que je devais finir avant de partir le retrouver… Lui… M*rde Monica ! Depuis quand tu te laisses allées dans ses détails de la vie, à ses pensées amoureuses alors que tu es sensées travailler tes cours, la vie ne ressemble en rien à un conte de fée où les histoires d’amour sont au cœur de tout et je devais à tout prix faire en sorte que ce ne soit autrement, donner de l’importance au travail et l’amour n’est qu’un bonus… Impossible finalement. Oui, j’avais un rendez-vous galant, une soirée, des retrouvailles, sentir de nouveaux sa présence près de moi, son regard dans le mien, sa main caressant ma joue, le son de son rire. Oui, je comptais retrouver tout cela, mais je devais avant me reprendre et finir ce dont j’avais commencé, plus tôt… Assise sur mon lit, écrivant une suite de formule sans logique perceptible, je pensais… Pensais… A lui. Notre rencontre et ce regard… Pff… Indescriptible. Cette situation étrange, voir grotesque quand on se rend compte qu’avec mes faibles bras, je venais de réussir l’exploit de faire fuir ses gros lourds pour le sauver lui. Nous avions changés, le temps d’une soirée, les rôles j’étais le héro et lui la jeune femme en détresse, enfin le jeune homme dans ce cas particulier. Je ne regrettais rien, loin de là… Puis, j’essayais de me calmer face à tout cela, notre histoire, notre vie. Je voulais prendre mon temps profité de ses moments le plus simplement possible. Il était hors de question que je gâche cette histoire-là, je tenais désormais trop à lui… J’étais amoureuse de lui et il me fallut énormément de temps pour avaler la pilule, d’ordinaire, je ne m’attache pas, je me l’interdis… D’ordinaire… Mais, il me manquait… Trois jours sans le voir et je devenais insupportable, voilà qui pouvait faire rire les gens qui me connaissaient depuis toujours (ils sont rares d’ailleurs), j’étais indépendante, d’ordinaire… Sauf qu’il me manquait… Comme pour me réveiller d’un songe bien trop réel ou me rappeler que la vie, la vraie n’était pas si loin que tout cela, la musique dans ma chambre changea, la rendant plus rythmé, moins mélodieuse. Je connaissais les paroles, je connaissais cette envie de danser en toute simplicité, sortir de ce corps, de ces pensées qui me rendaient complètement à côté de la plaque, je m’interdisais de foirer ce genre de moment, simple de la vie, qui devienne malheureusement bien trop rare dans ce monde.

Une heure, tic Tac… Tic Tac… J’étais enfin prête et regardais mon reflet dans le miroir. Je ne me trouvais pas vraiment jolie, pas vraiment séduisante, j’étais tout simplement moi. Enfin, je connaissais mon pouvoir de séduction, à une époque j’en jouais un peu trop pour survivre, mais avec le temps je me rendais compte que tout cela n’était qu’apparence et que je préférais amplement la femme que j’étais intérieurement, celle qui arrivait à survivre dans ce monde qui peu parfois se montrer tellement dur et insurmontable. Je portais quelque chose de simple, une robe…. Celle qu’Enzo préférait me voir porter, après tout… Nous nous retrouvions, j’avais le droit de lui faire plaisir, et puis cela me remplissait également d’un bonheur, agréable et simple. Je passais rapidement une main dans mes cheveux détachés et soufflais doucement avant d’ouvrir ma boite à pharmacie. Je devais prendre quelque chose, car ce matin encore j’étais nauséeuse, ayant rendu mon petit déjeuné rapidement. Hors, je ne sentais plus les symptômes, enfin pour le moment… Je préférais assurée mes arrières, après tout, je ne voulais en rien gâcher cette soirée. Je claquais la porte de mon appartement afin de filer droit vers cet endroit. Fixant toutes les minutes mon téléphone, j’espérais recevoir un message de plus, nous n’avions pas arrêté de faire cela durant ses deux derniers jours. J’étais possessive, je ne me voilais pas la face, mais je n’arrivais pas à résister à l’envie d’entendre le son de sa voix ou savoir ce à quoi il était en train de faire, surtout que m’inquiétait toujours… Le fait qu’Enzo soit le fils du sénateur ne me touchait en rien… Après tout, ce n’était qu’un détail, mais l’idée de le rencontrer un jour et qu’il me présente comme étant sa copine, le mal être m’envahissait littéralement. J’avais une peur immense qu’il ne m’aime pas, me trouvant pas assez bien pour son fils, venant d’un monde que je ne connais point, j’avais terriblement peur, c’est surement pour cela que je n’aimais pas le voir partir avec lui, je ne contrôlais absolument rien. Je secouais la tête… Une bonne soirée, je comptais y passer une bonne soirée en compagnie de mon amoureux. Une fois devant le restaurant, je me rendis compte comme quoi il était chic, et j’étais bien heureuse de porter cette robe grise.

Une seconde… Je poussais légèrement la porte du restaurant afin d’y faire mon entrée, dans l’espoir que mon regard se pose immédiatement sur lui. Je ne cherchais pas longtemps avant de le voir, divinement beau, de l’autre côté du restaurant, en face de moi. Un sourire sur ses lèvres, un autre sur les miennes et j’oubliais complètement le reste. Ma matinée à passer la tête sur les toilettes, mon après-midi à travailler d'arrachepied pied en tant que serveuse, mais également mes cours, j’oubliais mon mécontentement de le savoir loin de moi, pour le travail, ainsi que tous ses détails de la vie, bien futiles finalement. Mon cœur s’accéléra dangereusement, rien comparable au reste… Je me sentais divinement bien et je comptais le retrouver quand un homme sur le côté, éveilla mes intentions. « Mademoiselle ! Vous avez réservé une table ? » La question stupide, je voulais l’envoyer chier, je voulais retrouver les bras d’Enzo, sentir sa peau sous la mienne, sentir son souffle sur mon visage, ses lèvres sur les miennes, je rêvais de tout cela, et cet homme, que je ne connaissais pas, souhaitait une chose qui me dépassait. Je me tournais vers lui, complètement ailleurs. « On m’attend… » Je désignais d’un mouvement de tête Enzo non loin de moi avant de quitter cet homme et me retrouver dans les bras de celui que j’aimais. Enfouissant ma tête dans son cou, j’étais heureuse de me retrouver ainsi dans ses bras. Relevant délicatement la tête, je souriais en le sachant si proche de moi, c’était tellement unique comme sensation que je me contentais de rapprocher mon visage du sien, murmurant alors que mes lèvres touchaient les siennes délicatement. « Je suis tellement heureuse que tu sois rentrée. » Un sourire, mes lèvres qui frôlaient les siennes délicatement avant de les embrasser tendrement… D’abord, amoureusement ensuite, puis ne voulant pas me montrer trop expressive dans ce restaurant, je me contentais de m’éloigner légèrement et d’entourer son corps de mes bras… « Tu m’as tellement manqué… » Un sourire, une caresse, un regard, un échange… Le retour de l’être aimé…
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Enzo D. Philipelli

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MessageSujet: Re: Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Diner en amoureux - PV Monica S. Ward EmptyMar 28 Sep - 17:17

Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 2857043786_1
- she's like a melody -

Je n'ai jamais été amoureux. Je n'ai jamais éprouvé d'amour pour qui que ce soit. Je n'ai donc jamais compris pourquoi les héros des comédies romantiques agissaient aussi stupidement, ni pourquoi les hommes trompaient leurs femmes ou même pourquoi ils décidaient de se marier. Mais dès qu'elle est entré dans ce restaurant, dès qu'elle a posé ses yeux doux sur moi, j'ai compris. Mon coeur s'est arrêté de battre, l'aiguille s'est arrêté de tourner, tout était immobile, il n'y avait que nous, il n'y avait qu'elle.

J'étais debout, là, dans un coin du restaurant, à sourire comme un idiot. Et elle, elle était si belle. Elle avait mis sa plus belle robe, celle que je préférais, et ses cheveux, jamais ils n'avaient été aussi brillants. Un des serveurs l'arrêta à l'entrée, je ne pus que le maudire. Comment pouvait-il gâcher cet instant privilégié. J'étais presque jaloux qu'elle lui adresse la parole avant même de m'avoir dit un mot. Mais elle s'en débarrassa bien vite et, avec une démarche élégante, elle s'avança vers moi. Petit à petit, la distance qui nous avait séparé depuis trois jours s'amoindrissait. De plus de 2000 kilomètres, on était passé à moins d'un mètre et l'impact se produisit aussi sensuellement que possible.

Elle me prit dans ses bras, je sentais ses lèvres douces sur mon cou. Moi, je la serrai contre moi, plus qu'heureux de la sentir enfin contre moi, après ces jours passés en son abscence. Oui, j'avais entendu sa voix, oui, j'avais lu ses messages, mais rien ne pouvait remplacer le bonheur qui m'emplissait dès lors qu'elle était près de moi. Je pouvais sentir son odeur, je pouvais caresser sa peau douce, je pouvais embrasser ses cheveux, et lorsqu'elle releva la tête, je pouvais voir ses yeux, son sourire, ses lèvres...

"-Je suis tellement heureuse que tu sois rentrée, murmura-t-elle"


Je n'eus pas le temps de répondre, car ses lèvre, elle les posa tout doucement sur les miennes, comme pour faire durer encore plus ce moment de retrouvailles. Je n'étais plus dans un restaurant à Jacksonville, j'étais seul au monde, seul avec elle, plus rien n'existait autour de moi, et tout allait bien, oui, je n'avais plus aucun problème, puisqu'elle était là.Et soudain, elle retira ses lèvres des miennes, s'éloignant un peu de moi, j'étais désemparé.

"-Tu m’as tellement manqué… dit-elle, en me prenant dans ses bras
- Tu m'as manquée aussi Monica, répondis-je timidement"


Je souris. Elle m'avait manqué aussi. Beaucoup. Beaucoup trop. Mes mains se posèrent naturellement sur ses joues et je l'embrassai une dernière fois avant de l'inviter à s'asseoir. Le simple fait de l'avoir en face de moi me comblait. Je contemplais son visage, son sourire, sans rien dire. On devait avoir l'air malin, à se sourire comme ça, en silence, les yeux dans les yeux. Mais je me foutais complètement de ce que pensaient les autres. Pour une fois, tout ce qui comptait, c'était elle et moi, c'était nous.

Caressant doucement la main qu'elle avait posé sur la table, je continuai à la regarder. Bon, je ne pus résister à la tentation de poser mon regard quelques fractions de secondes sur son magnifique décolté. Je n'étais pas fier du tout fier de moi, mais il me semblait que mes hormones commençaient un peu à agir sans moi. Afin de détourner ma propre attention, je décidai de relancer la conversation.

"- Alors, tu ne t'es pas trop ennuyée sans moi ? lançai-je en riant."

Enzo n'a jamais été synonyme d'humilité, c'est un fait bien connu. Attendant sa réponse, qui, je l'espérai, ressemblerait peut-être à "Si, c'était affreusement horrible, je ne peux pas vivre sans toi !" (hum), je remarquai que ma chérie était un peu pâle. Etait-ce le manque d'Enzo qui se manifestait ? Ou bien nous couvait-elle quelque chose ? Je commençais un peu à m'inquiéter. Depuis que j'ai rencontré Monica, elle n'est jamais tombée malade une seule fois. C'est quelqu'un de plutôt robuste qui, même lorsque j'ai attrapé la grippe, l'an dernier, est restée à mes côtés sans l'attraper pour autant. Du coup, je ne pus m'empêcher de lui demander :

"- Je te trouve un peu pâle quand même... Tu vas bien ? "

Si ça avait été une autre femme, je pense que je ne me serais jamais inquiété. Mais il s'agissait de Monica. Et Monica n'était pas n'importe quelle femme. Monica, c'était devenu ma raison de vivre depuis un peu plus d'un an. C'était devenu mon ici et mon maintenant. Plus rien ne comptait à part elle, elle qui faisait battre mon coeur si fort, que parfois j'avais l'impression qu'il allait exploser. Elle qui me donnait des frissons lorsqu'elle passait sa main sur mon visage. Elle, que j'aimais et qui m'aimait en retour.


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S. Monica Ward

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MessageSujet: Re: Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Diner en amoureux - PV Monica S. Ward EmptyMer 29 Sep - 12:03

Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 52565806 Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 43554797 Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Twirling-tvd45

‘‘ C'est en creusant au plus profond d'une âme,
que l'on en découvre les plus beaux secrets. ’’

Quoi de plus agréable que des retrouvailles avec l’être aimé. Par moment, quand j’arrivais à prendre du recul sur ce que nous étions l’un pour l’autre, ce nous que nous formions désormais depuis quelque mois, je me trouvais pathétique. Ce genre de fille qu’on ne voit que dans ses séries B, pathétiques qui ne peuvent vivre loin de l’être aimé. J’étais devenue en l’espace de si peu de temps, ce genre de fille. Je voulais lutter contre cette transformation, mais j’en avais ni la force, ni la volonté. Car j’aimais cette sensation au creux de mon ventre, cet envole de papillon quand il s’attardait sur mes lèvres, de mon bonheur quand je passais un temps soit peu du temps avec lui. Alors oui, oui j’étais ce genre de fille, j’étais irrévocablement amoureuse de lui, je ne voyais pas une vie sans lui, je ne voyais plus ma vie sans lui. J’étais bien loin de la fille indépendante d’il y a quelques années… Malgré mon attachement pour lui, je restais la même femme, ayant évoluée, j’espérais dans le bien d’ailleurs, j’étais cette fille pleine de fougue, qui se trouvait actuellement dans ses bras, loin de la pièce remplit de clients, loin de tout ce monde qui tournait alors que je me retrouvais dans ses bras, amoureusement. « Tu m'as manqué aussi Monica » Me répondit-il timidement, de cette manière que j’aimais tant, sur la réserve. Mais ses yeux, profonds répondaient à sa place, il m’incendiait du regard, que j’aimais quand il posait ce regard-là sur moi, je me sentais vivante… Digne de son amour ? A cette question, j’eus un haut le cœur, son amour… Je ne me sentais parfois ni digne, ni à la hauteur. Je devrais peut-être franchir le pas, oser lui dire ce que j’étais avant de le connaitre, il est en droit de connaitre mon passé, mais je ne savais comment entamer la conversation, j’avais sans cesse peur de lire sur son visage cette expression, ce dégout de ma petite personne, que j’avais pu lire il y a des années de cela, sur le visage d’Adrian. Non, je ne trouvais pas le moment, de lui dire tout cela et plus le temps passait, plus je me sentais fautive de lui cacher une grosse partie de ce que j’ai pu être. Mais la peur, cette p*tain de peur me tiraillait littéralement de l’intérieur, je ne voulais pas le perdre. C’était trop tard, je l’aimais trop pour ressentir ce genre de sentiment, l’abandon et le dégout était les pires de tous. Bref…

Je profitais de ses deux mains entourant mon visage, de ses lèvres sur les miennes, de ce contact aussi simple mais tellement vivifiant avant de m’installer en face de lui et profiter de ce diner en amoureux. J’avais des tonnes de question à lui poser, je voulais savoir comment s’était déroulé son voyage, si tout c’était passé comme bon lui semble, je voulais sentir encore une fois le contact de sa peau contre la mienne et je profitais qu’il s’installe à son tour pour ôter ma veste et ne plus le quitter des yeux. Je me retenais pour ne pas passer ma main sur son visage, comme j’avais l’habitude de le faire, je me contentais de poser ma main sur la table, dans l’espoir qu’il me la prenne. Ce qu’il fit… Je l’aimais, c’était simpliste de dire cela, mais j’aimais ce genre de geste qu’il avait envers moi, c’était simple, c’était agréable, c’était vrai. Aucun chichi, aucune honte ni même de sous entendu, c’était simple comme le jour. J’aimais cela, tout simplement. Me mordillant légèrement la lèvre inférieure, je continuais de lui sourire comme si le monde extérieur ne comptait pas, il ne comptait pas… Lui, Enzo… C’est tout. « Alors, tu ne t'es pas trop ennuyée sans moi ? » Me lança-t-il tout en riant, laissant apparaître son sourire que j’aimais tant. Assise confortablement en face de lui, je ne pouvais le quitter des yeux. Tendrement, je passais une de mes mèches de cheveux derrière l’oreille avant de ne lui répondre tout en lui souriant. « A ce que je vois, tes chevilles sont toujours enflées. » Je riais, de bon cœur... J’aimais le taquiner, j’aimais le pousser dans ses retranchements, je commençais à le connaître, mais lui aussi… Et il savait combien j’avais un humour qui m’était particulier. Plissant légèrement le nez, lui souriant et disant à mon tour en riant, je ne pouvais lui cacher la vérité. Même si son égo allait se sentir bien plus fort. « Je n’ai pas eu le temps de m’ennuyer, entre le restaurant et mes cours… » Dis-je sérieusement, ne le quittant pas des yeux… Je ne pouvais tenir plus longtemps, pas quand il me regardait de cette manière. « Mais… Tu m’as terriblement manqué. » Rajoutais-je avec un clin d’œil.

Puis, étonnamment, il me regarda étrangement, comme s’il venait de voir une autre personne, ou tout du moins, j’avais quelque chose de différent. Rapidement, je faisais la liste de mes faits et gestes avant que je ne le retrouve, ayant peur d’avoir oublié quelque chose. Je ne voyais rien… Mince ! Fronçant les sourcils, j’allais lui demander ce qu’il y avait, avant qu’il ne prenne la parole, à son tour. « Je te trouve un peu pâle quand même... Tu vas bien ? » Oh ! Je me redressais, maudissant cette facilité qu’il avait de lire en moi, comme dans un livre ouvert. Je devais donc avoir triste mine, et étais bien heureuse d’avoir pris mon comprimé, au cas où. Je n’étais pas malade, ou je venais d’attraper la gastro du moment, surement. Pour le rassurer, pour me rassurer, je me mis à caresser le dos de sa main sur la table, avant de prendre la parole. « Je n’étais pas bien ce matin, j’ai surement fais une intoxication alimentaire, mais je vais beaucoup mieux maintenant… » Inconsciemment, je touchais mon ventre, j’avais même faim. Ce qui tombait bien, puisque le serveur s’approcha nous tendant les menus. Par la même occasion je lâchais sa main pour prendre la carte des plats. Lisant attentivement, je me fichais bien de ce à quoi j’allais manger, de suite j’eus envie de toute autre chose. Je détournais mon regard d’Enzo, voulant cacher ses rougeurs apparaitre sur mes joues, puis naturellement je disais… Me cherchant un plat. « J’espère qu’à ton tour, je t’ai manqué durant ses trois jours ! » Je le fixais droit dans les yeux, je me sentis fondre sur place et ne voulant pas bondir sur lui telle une lionne affamée, j’essayais de changer de conversation, ou de ne pas penser à ce à quoi je pensais. « Tu penses prendre quoi ? Il y a trop de choix ! » Dis-je un sourire sur les lèvres, de toute manière… Je n’y arrivais pas, ôter ce sourire de mes lèvres, je ne voulais pas, car j’étais bien et je n’avais pas ressenti se sentiment durant les trois derniers jours, c’était clair non…
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MessageSujet: Re: Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Diner en amoureux - PV Monica S. Ward EmptyDim 3 Oct - 14:25

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" Je n’étais pas bien ce matin, j’ai surement fais une intoxication alimentaire, mais je vais beaucoup mieux maintenant… "

Sa main caressait la mienne, comme pour me rassurer. Et ça marchait. Petit à petit, ce flot d'inquiétude qui m'avait assailli s'évaporait dans l'air jusqu'à laisser place à une paisible sérénité. Une intoxication alimentaire ? Il en fallait bien plus pour affaiblir ma Monica. Et je l'admirai pour ça, pour son courage et sa volonté. Moi, à chaque fois que je tombais malade, je me conduisais comme un bébé, comme si une angine allait me tuer ou qu'une otite me mettrait dans le coma. J'avais une petite tendance à tout dramatiser,mais je me soignais.

Le serveur arriva, avec une mine traduisant irrévocablement un ennui mortel et nous tendit, sans un mot, les menus. Monica lâcha ma main pour se cacher derrière la carte du Yellow Bluff. Un peu déconcerté, je fis de même. Et, alors que mon cerveau entrait en ébullition quant à savoir si je prendrais le tartare de boeuf ou l'entrecôte, sa voix se détâcha doucement du brouhaha de la salle. Monica, cachée derrière son menu, déclarait à voix basse, l'air de rien :

"-J’espère qu’à ton tour, je t’ai manqué durant ses trois jours ! Tu penses prendre quoi ? Il y a trop de choix !"

Je ne pus m'empêcher de sourire. C'était du Monica tout craché ! Un besoin incessant, mais toujours timidement exprimé, d'être rassurée. Camoufler sa première question par une diversion sur la nourriture! Ce n'était pas nouveau. Mais j'aimais bien ce petit côté timide qu'elle arborait en ma présence. En temps normal, Monica est quelqu'un d'assez intimidant. Elle avait de la présence et beaucoup de charisme. Et puis, elle ne mâchait pas ses mots. Mais lorsqu'elle était avec moi, c'était une Monica toute timide et extrêmement délicate que je découvrais. Et ce n'est pas pour me déplaire, d'ailleurs. Quant à moi, j'avais beau faire le malin et le gros dur, je n'en devenais pas moins à fleur de peau lorsqu'elle était près de moi. C'est assez dur à décrire, ce que je ressentais lorsque j'étais avec elle. D'un côté, je ne pensais qu'à elle, je n'avais d'yeux que pour son sourire et je buvais ses mots comme un extrémiste religieux. D'un autre côté, je pensais aux autres, aux garçons qui la regardaient, qui la voulaient. Je n'étais pas d'un naturel jaloux, mais il fallait bien comprendre que Monica était MA petite amie et qu'il était hors de question qu'un autre homme la convoite. Et puis, je ne suis pas connu pour mon grand sens du partage, il faut bien l'admettre.

Ma Monica, derrière sa forteresse de papier glacé, attendait ma réponse. Et je n'allais pas me faire prier, j'allais même la taquiner un peu, ce que j'aimais bien faire puisqu'avec son caractère, il lui arrivait souvent de partir au quart de tour et, ayant toujours eu des tendances mazochistes, la voir me fusiller du regard pour ensuite la rassurer était devenu une petite routine.

"- Moui. Mais bon, j'ai eu le temps de m'occuper moi aussi. Il y avait beaucoup de jeunes à ce meeting, je me suis fait quelques ami(e)s et c'est tout de suite devenu moins barbant, surtout le soir, on s'éclipsait des dîners, un peu comme dans les films d'espionnage, tu sais ? M'enfin je te passe les détails. Et je pense prendre une entrecôte. J'ai faim !"

Assis sur un des sièges rouges du Yellow Bluff, au milieu de la cacophonie du bruit des couverts crissant sur les assiettes et de la douce musique française, les yeux rivés sur mon menu, l'air de rien, j'attendais avec impatience la réaction de Monica chérie.

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S. Monica Ward

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Diner en amoureux - PV Monica S. Ward _
MessageSujet: Re: Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Diner en amoureux - PV Monica S. Ward EmptyMer 6 Oct - 17:14

Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 52565806 Diner en amoureux - PV Monica S. Ward 43554797 Diner en amoureux - PV Monica S. Ward Twirling-tvd45

‘‘ C'est en creusant au plus profond d'une âme,
que l'on en découvre les plus beaux secrets. ’’

Concentrée sur ce menu que je tenais entre les mains, j’essayais de ne pas lui montrer combien j’attendais sa réponse. Il m’était curieux de savoir comment s’était déroulé ses trois jours, curieuse de savoir avec qui il passait du temps, curieuse de savoir si à son tour je pouvais lui manquer. J’avais toujours cette crainte, qu’il se lasse, qu’il trouve mieux ailleurs, après tout je n’étais pas si différente que cela. J’avais un sale caractère, bien prononcé d’ailleurs, j’avais cette tendance à m’imposer, à effrayer les gens, ma manière à moi de me préserver des autres. Sauf qu’avec Enzo, j’agissais bêtement, je ne réfléchissais plus, comme s’il provoquait en moi une étonnante substance, m’empêchant de réfléchir convenablement, je détestais cette sensation, mais en même temps elle me rappelait combien je pouvais l’aimer, combien il m’était indispensable de rester près de lui, qu’il avait une place, qu’un nous était possible. C’était étrange et agréable, vitale et… Simple, à la fois excitant et effrayant. Je le voulais, je voulais savoir comme il allait, je devenais une fille dangereuse… Si si, je vous le jure. En cette soirée, dans ce restaurant, alors que je lisais la carte, je ne pouvais m’empêcher d’attendre une réponse, n’importe laquelle. Je voulais l’entendre dire que je lui manquais, que j’avais une place toute particulière dans sa vie, c’était étonnant, étrange de douter encore de cela, mais c’était plus fort que moi, je doutais, j’avais peur, j’étais effrayée, de ne pas avancer comme je le désirais réellement. Je secouais la tête, posais de nouveau mon regard sur lui, le trouvant malgré son mutisme irrésistible, séduisant… Attirant… Poaw ! J’en avais de la chance.

Il ne parlait pas… Enfin, si… Enfin… « Moui. Mais bon, j'ai eu le temps de m'occuper moi aussi. Il y avait beaucoup de jeunes à ce meeting, je me suis fait quelques ami(e)s et c'est tout de suite devenu moins barbant, surtout le soir, on s'éclipsait des dîners, un peu comme dans les films d'espionnage, tu sais ? M'enfin je te passe les détails. Et je pense prendre une entrecôte. J'ai faim ! » Je ne fis plus aucun mouvement, relevant la tête en sa direction, je fixais avec intensité ses pupilles, dans l’espoir d’y voir de l’amusement ou une simple farce de sa part, rien. Je ne vis aucun signe qui pouvait me réconforter dans l’idée qu’il souhaitait juste me taquiner. La panique, ou un sentiment bien plus fort pris possession de mon corps, je ne contrôlais plus rien, je laissais tomber mon menu sur mon assiette vide et je cherchais à calmer cette voix qui imaginait le pire. Celle qui se faisait des films, celle qui prenait part à cette jalousie débordante le concernant. Je soufflais fortement… « Je vois… » Dis-je alors que je voulais hurler intérieurement. J’hurlais d’ailleurs, mais j’essayais de me contrôler, me montrer stupide et possessive n’était en rien dans mes intentions, je m’étais promis de ne plus agir de la sorte, de me contrôler, de rester calme et détendue. Tu parles ! C’était impossible… Lisant une énième fois le menu, je me taisais laissant ce silence pesant envahir notre bulle. J’agissais mal, qu’importe… J’imaginais mon Enzo entouré de gens que je ne connaissais pas, pire de filles bien plus jolies que moi, séduisante… Nouvelle dans l’entourage d’Enzo.

Un frisson… Je comptais dire quelque chose, quelque chose qui allait tout foutre en l’air, surtout cette volonté de fer de profiter de la soirée et non faire preuve de jalousie débordante. Mais, le serveur arriva à point et nous fixant l’un après l’autre il attendait… J’attendais qu’Enzo prenne la parole, pour à mon tour commander mon plat… Je refermais le menu, d’un mouvement las… « Le saumon ! » J’aimais le poisson, puis je ne me sentais pas capable de manger la moindre viande ou autre plat typiquement français. La cuisine française était pour moi trop raffinée. On commandait du vin, le vin… Contrairement à la nourriture, était quelque chose de raffinée et de très gouteux. Que j’aimais particulièrement. Étais-je en état de boire une goute d’alcool ? Je n’avais pas de réponse, malheureusement. Le serveur s’éloigna de nous, je ne pu contenir plus longtemps cette jalousie qui me tiraillait les entrailles. « Je vois que le temps t’a semblé moins long ! Et moi qui pensais que tu t’ennuyais ! » Quelle sotte ! Une seconde fois je soupirais fortement détestant cette manie, vilaine que j’avais de me mettre en colère pour un rien, mais c’était plus fort que moi… Il n’était pas n’importe qui, il n’était pas n’importe quel garçon, c’était Enzo, le garçon. Regardant ailleurs, j’essayais de me calme et de profiter de cette soirée…
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