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![[PV] Désolée de débarquer comme ça ! N&N _](https://2img.net/i/_.gif) |  Sujet: [PV] Désolée de débarquer comme ça ! N&N Mer 29 Sep - 15:20 | |
| Noah & Nemésis
 
Ce matin en me levant, Benjamin n'était pas là, ce qui me fessait bizarre car d'ordinaire je l'avais toujours à mes côtés. Sauf que là il avait décidé de prendre trois jours de congés et de partir trois jours avec ses potes. Me laissant toute seule – enfin pas si seule que ça, vue que j'avais un habitant dans mon ventre – dans cette maison. Je lui avais dit qu'il pouvait partir, toute façon rien ne se passerais. Cela fessait longtemps que je n'avais pas était seule dans une maison pour tant de temps. Je descendis au rez-de chaussé et me préparée mon petit-déjeuner. Puis j'allais travaillée. Ma journée de travail ce passa comme tout autre journée, rien ne changea. Mais quand sur les coups de dix-huit heures je rentrais à la maison. Et que je n'eus pas le sourire de Benjamin pour m'accueillir. Cela me stressa en quelque sorte. Pour me changer les idées, j'ai décidée de faire le ménage dans la maison. Et quand je me décidais de faire quelque chose à fond , je le fessait réellement à fond. J'avais commencée par la salle à manger, puis au fur et à mesure j'avais fait toute la maison, de fond en comble. M'arrêtant juste pour manger. Jusqu'à plus de minuit j'avais arrangée cette maison. Maintenant on pouvait tout aussi bien dormir par terre, y manger, y vivre quoi. C'était vraiment nickel. Fatiguée, je m'assis enfin sur le canapé. Dehors il pleuvait. Il pleuvait très fort. Je n'aimais guère ça. Puis je m'aperçut en regardant le résultat que le vase sur la table était mal placé. Alors je me levais et le pris, pour le poser autre part. Sauf que juste quand je le pris, un gros coup de tonnerre retentit, me fessant d'une sursautée, donc lâcher le vase et de deux couper l'électricité. Je n'étais pas dans la merde c'est moi qui vous le dit. D'ordinaire c'était Benjamin qui s'occupait de ce genre de chose. Je pris mon iphone dans ma poche et mis la la lumière de celui-ci. Éclairant ainsi un peu la maison. Je ramassais un à un les bouts de verre de par terre. Me coupant au passage, comme pour faire exprès. Ce n'était rien. Je fis un pansement rapide. Tout ça avec la lumière de l'Iphone. Comme quoi ces portable s'avéraient utile parfois. Puis avec que la pluie continuait de tomber et le tonnerre de crier. La panique me submergea. Oui je fus prise d'une panique comme j'en avais si souvent depuis que j'étais enceinte. Je me mis à tourner en rond dans la maison, sans pour autant me calmer. Le bébé du le ressentir, car il donnait des coups. Alors je fis la seule chose qui sur le coup me passa par la tête. Je pris mon Iphone qui affichait deux heures quarante. Et je pris ma voiture. Je me garais devant la seule personne qui – je pense – pouvais m'aider maintenant, là tout de suite. Certes ce n'était pas une heure pour débarquer chez les gens, mais c'était mon dernier recours. Je descendais de la voiture et sans parapluie. J'allais vite me réfugier sous le paravent et je sonnais chez Noah. Je savais que ce n'était pas super polie et même super gênant de débarquer chez les gens à cette heure-ci mais je le fis quand même. Car j'en avais peut être besoin. Et patiemment j'attendis que la porte s'ouvre et que je puisse monter. Je devais surement le réveiller et je m'en voulais de ça d'un côté. |
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| | Sujet: Re: [PV] Désolée de débarquer comme ça ! N&N Lun 4 Oct - 14:59 | |
| Noah avait fini sa garde, bien après ce qu'il aurait du, et la seule soirée de libre qu'il était censé avoir cette semaine, était bien entamé quand il franchit les portes de l'hôpital. En effet, il jeta un coup d'oeil à sa montre qu'il était presque minuit, et il devrait mettre ses plans de sortir un peu. De toute façon, il tombait littéralement de fatigue et il dormirait probablement jusqu'à tard la journée d'après. C'était un peu triste mais sa vie se limitait presqu'exclusivement entre son boulot et son lit ( et même pas pour des raisons agréables, ce dernier). Il avait tendance à accumuler les gardes, ce qui faisait que dès qu'il avait un peu de temps libre, il le passait à récupérer en dormant. Une chance qu'il avait pris sa voiture, le matin, il n'aurait pas à attendre de trouver un taxi à cette heure tardive. Le métro et les bus ont pouvaient déjà oubliés.
Quand il franchit la porte de son appartement, il savait qu'il était presque minuit et demi, et au lieu de foncer dans sa chambre, il prit le temps d'aller faire une douche, de manger, et de fumer une à deux cigarettes. Bref, quand il s'allongea sur son lit, dans l'espoir de pouvoir dormir pendant les dix prochaines heures, il était déjà plus de deux heures du matin. Il ne mit pas longtemps à sombrer, ses dernières forces l'abandonnant malgré le bruit tonitruant de coup de tonnerre, et il était à peu près dans un sommeil semblable à un coma quand la sonnette retentit, si stridente qu'elle l'arracha avec surprise à son sommeil si mérité. Il était encore épuisé, mais il ne comprit la raison que lorsqu'il aperçu son réveil qui indiquait qu'il était deux heure quarante cinq. Pas étonnant, il avait à peine dormi une petit demi heure. Il se leva, néanmoins, l'esprit totalement embrumé, juste dans son boxer et ce n'est que lorsqu'il arriva à hauteur de son interphone, qu'il réalisa deux choses, d'une qu'il était vraiment tard pour qu'on débarque chez lui et deux qu'il était à peine habillé.
Il appuya sur l'interphone, néanmoins, préoccupé par la raison pour laquelle quelqu'un décidait de venir chez lui, au beau milieu de la nuit, mais un fin sourire se dessina en entendant la voix de Némésis, il savait que l'urgence serait probablement juste un peu de panique, et rien de bien méchant. Il lui dit de monter, et laissa la porte de son appartement entrouverte. Profitant que la jeune femme grimpe les étages, jusqu'à son loft se trouvant au dernier étage pour pouvoir enfiler à la va vite, un jogging et un tee shirt qui se trouvait à porter de main. Il passa une main rapide dans ses cheveux, cachant un bâillement avec son poing, il se dirigea vers sa cuisine, une bonne dose de caféine ne serait pas de trop pour tenir le coup. Il était littéralement fatigué, mais il n'allait pas laisser la jeune femme, tout ce qu'il y a de plus enceinte, à la porte. Cela n'avait jamais été son genre, il jeta un rapide coup d'oeil à son paquet de cigarette, qui semblait diablement tentant aussi mais se retint, la fumée était nocif pour la jeune mère de famille qui allait débarqué d'une minute à l'autre. L'immeuble où il résidait ne faisait que quatre étages, elle n'en avait pas pour plus de deux minutes à monter. |
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